Les Harkis
La magnifique Nouba des Tirailleurs Algériens : béliers et "Tambor-Madjor"
Défilé de l' Armée d' Afrique à la Libération
De la réalité à la légende
Douar des Souhalias, Tenes 1958
Le Bachagha Boualem,
caïd des Béni-Boudouane, dans l' Ouarsenis.
Capitaine de l' Armée Française, Commandeur de la Légion
d' Honneur à titre militaire
Croix de guerre 39-45 avec 2 citations, Croix de la Valeur Militaire, Croix
du Combattant et Député
Défilé des
harkis devant les autorités .
A l' extrême gauche, le Bachagha, à l' extrême droite le
général Gracieux en béret para
OUI Il fallait armer les musulmans afin qu 'ils puissent se défendre contre les fellaghas |
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NON Il ne fallait pas les abandonner au couteau des égorgeurs |
Le colonel Antoine Argoud
arme un musulman fidèle en présence du général
MASSU.
Argoud n' acceptera jamais l' abandon des harkis livrés sans défense
à l' ennemi par De Gaulle et les siens
Le général Jean GRACIEUX rend les honneurs à des harkis
morts pour la France. A gauche le Bachagha BOUALEM
5 JUIN 1956 : l' opération "Ouarsenis" est terminée.
Le traître-déserteur aspirant MAILLOT a été abattu
et le maquis rouge éliminé par les hommes du Bachagha BOUALEM
que l' on voit, en djellaba rayée devant une AM8
Le Commando de Chasse "GEORGES"
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La trahison
programmée par l' Etat Français
Extraits du message
du 12 mai 1962 de Pierre Messmer
Crédit site internet de Médiapart
Nos supplétifs
Quel a été leur sort ? ...
Celui-ci ....
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Quelques uns d' entre eux ont été sauvé grace à ces "Justes"