Pétrus
PELLAULT fils (Tutus) nous écrit :
" Lorsqu'en 1936, mon père a acheté 1 200 m² pour construire sa petite
maison - notre petit paradis - il y avait au village français 13 européens
et une vingtaine d'arabes.
Aujourd'hui, il n'y a plus d'européens mais au moins 5 000 indigènes
avec un lycée.
On se demande de quoi ils peuvent vivre.
La photo de la rue date de 1990. Aujourd'hui, elle a est goudronnée,
avec des trottoirs. Elle s'appelle rue du 1er novembre.
Les habitants (ceux qui le peuvent) ont le téléphone et le fax chez
eux. La télé avec des paraboles et ils vont avoir l'eau courante amenée
par une conduite forcée du barrage de MASSENA et qui va desservir
jusqu'au GUELTA.
Mon correspondant m'a dit que c'est plein de bandits et que la nuit,
il dort avec son fusil à portée de sa main. "
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